Si on voulait être efficace mais non exhaustive on pourrait dire que la douleur chronique est une douleur aiguë qui traîne dans le temps au-delà de 3 mois mais cela serait réducteur compte tenu de tout ce qu’engendre la douleur chronique.
Le point de départ est que le traitement médicamenteux ne répond pas ou insuffisamment aux besoins du patient. Un autre aspect important est que la douleur chronique entraîne une répercussion sur la vie quotidienne du patient. Le patient est en recherche permanente de solutions quelle qu’elle soit ; ce qui profite à quelques charlatans sans scrupules. D’autant plus que le diagnostic de la douleur chronique est long à mettre en place provoque souvent une errance médicale avant que le diagnostic met un mot sur les maux exprimé par la personne.
Voyons les conséquences de vivre avec cette douleur qui parfois sournoisement s’absente pour mieux revenir. Ce qui rend de l’espoir au douloureux chronique.
Le patient va focaliser toute sa vie autour de la douleur ; certains témoignent de l’importance de la douleur : « tout devient douleur et rien que douleur ». Les douleurs viennent hypnotiser le patient son entourage et même parfois son thérapeute ; ça sera d’ailleurs un premier acte de travail de défocaliser le patient de sa douleur.
La douleur entraîne une incapacité de mouvement qui entraînera une perte de sensations mais aussi mais aussi un ralentissement de partage d’émotions. Une patiente me témoigne de ressentir de ne plus servir à rien de ne plus être bonne à rien. »la douleur m’a fait entrer dans un cercle vicieux où plus rien n’existe »
La vie sentimentale, sexuelle et sociale en est affecter. Il n’existe plus de projet personnel, familiale : la projection dans l’organisation de vacances est mise en retrait en suspens. La privation d’activités entraîne donc un ennui. La vie sociale est réduite à des obligations.
La vie professionnelle est aussi remise en question : la douleur chronique nécessite d’adapter son travail voir d’entamer une reconversion professionnelle. Elle chamboule tous les repères.
Plusieurs facteurs expliquent l’augmentation du nombre de douloureux chroniques : les conditions de travail, le vieillissement de la population mais aussi une pathologie bien connu le stress.
Comment arrêter une douleur chronique ? j’ai l’habitude de répondre assez rapidement il faut réduquer le cerveau alors que nous avons plutôt tendance à rééduquer le membre ou la zone malade. En fait, on travaille sur la perception de la douleur. C’est la différence entre la douleur aigue et la douleur chronique.
Je vous propose dans ma page spécialisation de voir comment l’hypnose, la sophrologie https://hypno-sophro-fcolletbeslin.com/la-sophrologie/ et autres techniques de bien être permet de gérer les différentes douleurs chroniques.